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Le Summit de Sorbonne Université souhaite se doter de 40 ingénieurs d'ici 2025

Stéphane Labbé, directeur général de Summit, revient pour POC Media sur les premiers résultats et perspectives de développement de l'unité. 

Extrait de l'article

Alors qu’elle va être officiellement inaugurée le 12 décembre prochain, l’unité de service Summit, dédiée au développement de l’activité partenariale de Sorbonne Université et à la valorisation de la recherche, a déjà un an et demi d’existence. À sa tête, Stéphane Labbé se réjouit des bons résultats enregistrés depuis son démarrage. « Le chiffre d’affaires, d’environ 1,6 million d’euros, est plus important que celui que nous avions projeté, déclare-t-il auprès de POC Media. Le bilan est positif et le modèle mis en place semble vertueux. »

 


 

40 ingénieurs à l’horizon 2025

Pour assurer ses activités, Summit – pour « Sorbonne Université Maison des modélisations, ingénieries et technologies » – dispose de ses propres ingénieurs, répartis en plusieurs départements techniques (DT). Dix au départ, ils sont aujourd’hui dix-huit et leur nombre devrait croître fortement dans les années à venir : « Notre objectif est d’arriver à une cinquantaine de personnes d’ici à 2025 », annonce Stéphane Labbé. Une croissance qui permettra de renforcer les DT existants et d’en créer de nouveaux.

À côté des départements « Ingénieries & Systèmes » et « Mathématiques & Applications », « notre dernière action forte a été la mise en place du DT “Observatoire & Société” qui s’appuie sur les activités de la faculté des Lettres de l’université », indique le dirigeant. Actuellement en phase de préfiguration, celui-ci devrait être définitivement opérationnel l’année prochaine. « Les premiers contrats arrivent et nous devrions embaucher deux personnes », précise-t-il. Par ailleurs, des réflexions sont en cours sur la création d’un nouveau DT autour des problématiques liées à l’environnement. « Nous ne souhaitons cependant pas emprisonner nos départements dans des thématiques trop spécifiques, souligne Stéphane Labbé. Nos ingénieurs doivent travailler sur des projets communs et mettre en relation des équipes qui n’ont pas l’habitude de collaborer. »

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